Plus que des yeux, ils sont des regards
Plus que des visages, ils sont des larmes
Des roses que Dieu jette sur les routes du malheur
Des roses que les incrédules foulent de leurs pieds immaculés.
Ceux qui ont des rêves
Se battent pour les accomplir
Jusqu’à chuter de leur zénith ;
Ceux qui n’en n’ont guère
Si ne n’est celui d’aimer la vie
Finissent en enfer…
Non
Ce ne sont pas des miettes que j’ai semées sur mon chemin
Mais des pierres qui blessent mes pas,
Des cicatrices qui ralentissent ma course,
Et m’empêchent de retourner vers l’avenir.
Mai 2005
Celui-ci est encore au stade de brouillon...