Ces flammes noires sur mes joues
Que sans tristesse tu ne puis voir,
Fatale leur serait la douceur de ton cou,
Laisse-moi oublier mon désespoir.
En sécurité entre tes bras,
Je ne ferais pas de bruit ;
Laisse-moi me loger entre tes bras,
Ainsi défileraient bien des nuits...
Je t'en prie puisque tu es dans mon coeur,
Je ne voudrais pas te voir repartir,
Je garderai pour moi mon malheur,
Mais ne me laisse pas mourir.