Le feu ;
L'aigle dans le ciel tournoie,
sur Terre le shaman communie,
Le serpent rampe,
Le feu s'embrasse tandis que le bois,
craque.
L'aigle chute,
Le serpent tire la langue,
Le shaman interprète,
Le feu s'attise tandis que le bois,
brûle.
Et les tambours indiens résonnent,
Un peu plus fort, toujours plus fort,
et l'esprit apparaît,
et le shaman communique,
alors que l'aigle parle au serpent,
Et les indiens prennent les chemins,
Qui les mèneront droit dans le gouffre,
En totale quiétude.
Et l'esprit s'énerve,
l'aigle est offensé,
le serpent le nargue.
Et le shaman prie pour le salut,
de la Nation nouvelle.
Et l'aigle prend le serpent entre ses serres,
Le serpent meurt.
Et les guerriers vaudous,
Attaquent le camp.
Le shaman se donne la mort,
le couteau guidé par l'esprit.
Le feu diminue, la pluie tombe,
le feu n'est plus.
Et les indiens dans le gouffre,
sautent.
Le bois est devenu charbon.
Les guerriers vaudous ont vaincus,
L'aigle est fier de son triomphe.
Y avons nous réellement gagné,
quelque chose ?
FIN
Composée par silk le 10 octobre 2004
Petite question, de quoi est-ce que je parle, a votre avis dans ce texte ?